vendredi 30 décembre 2005

Un nouveau jour

Mais d'où de telles couleurs peuvent-elles nous parvenir, pour à ce point capter le regard et interpeler notre âme ?

lundi 26 décembre 2005

Randonnée sur le Faron

Soleil déja en éveil, annonciateur pour moi d'un départ imminent:



Découverte du mont, à l'approche de celui-ci.
Je m'imagine m'observer moi-même depuis le haut de ce sommet, telle une fourmi perdue au milieu de l'immensité de la jungle urbaine:


Dans l'antre du Faron, riche de par ses multiples recoins:


Comparaison d'un même point de vue, entre notre réalité et celle proposée par Google Earth:


Vue réduite d'un panoramique depuis le sommet.
S'y trouver, c'est tellement plus encore:

vendredi 28 octobre 2005

Ciel orangé

Générosité lumineuse d'un soleil levant:

L'énergie arrive !

dimanche 23 octobre 2005

Invite au voyage

Où m'emménera donc ma chère moto, splendide, habillée de sa robe grise ?
D'une rotation de poignée, l'horizon s'offre à elle et à son chanceux pilote.
Elle n'attend que ça:

samedi 3 septembre 2005

La tentation de Jeuffose

Pilote motivé en préparation, en l'occurence l'inépuisable Roland:


Concentration ultime de l'homme oiseau avant son décollage.
Tout est surtout question d'équilibre, intérieur, extérieur:


Et enfin décoller,
Pour tourner et tourner encore dans le ciel.
Et gravir ainsi les airs, comme par magie:

mercredi 24 août 2005

Aux 2 Alpes

De retour des 2 Alpes, pas grand chose à dire car la météo était très mauvaise les 2 premiers jours (Dimanche et Lundi), suvi d'un jour ensoleillé mais avec un fort vent du Nord (donc non volable pour tout le monde) puis d'un Mercredi ENFIN super pour voler (même si les conditions étaient timides).

Le Jeudi fut couvert le matin, franchement menaçant l'après-midi (cumulo nimbus pas loin) et le Vendredi fut le jour de mon retour sur Paris (cause RDV Samedi).

Au bilan : de merveilleuses randonnées en montagne... avec un dénivelé de 900 mètres à pied dans un brouillard humide impressionnant... mais tellement immersif, une autre le lendemain qui m'a valu une douleur au genou lors de la descente pour rejoindre la station (quand c'est trop c'est tropico).

J'adore la montagne. Peut-être plus que le vol. Disons que c'est complémentaire. La cerise sur le gateau serait de pouvoir toucher tous ces sommets du bout des doigts en volant.
Voler, c'est aussi sentir l'énergie de la montagne. Une raison d'être, une raison d'y être.

Bon alors question vol !!


Et bien 2 heures 1/2 tout de même en 2 vols.
Inutile de vous dire que c'est visuellement fichtrement engagé par là-bas.
En l'air, c'est très ON/OFF (décidémement !), mais bien moins violent qu'à Millau ! ;o)
Disons que c'était +5m/s max (AAAAH !)... -5m/s min (GASP, FUY-ONS !).
Les +1m/s étaient absents au RDV.

Mercredi matin : 1er vol d'une heure et 10 minutes sur les faces est/sud-est du site des 2 Alpes.
Et hop ! Repose au déco pour finir ce premier vol. La grande classe.
Mon seul problème fut ce fichu genou qui m'a fait horriblement mal au moment de remuer mes jambes avant de préparer le posé. "CH'A VA ÊTRE CHAUD POUR LE POSE", ai-je prévenu Virginie à la radio.


Imaginez un peu le sautillement sur l'aire du déco, avec une seule jambe, lors de l'atterro !
Bon, j'ai fini assis par-terre.

Mercredi après-midi : 2ème vol d'une heure et 20 minutes sur les falaises orientée ouest/sud-ouest du même site.
Il y'avait un endroit qui secouait fort, à l'aplomb d'un pic rocheux. Je pouvais y passer 50 mètres au dessus, 100, 200 ou même 300 mètres au dessus, il fallait toujours que ça bippe plus que de raison et que ça fasse claquer quelques caissons.
Après 3 passages au dessus du déco (dont un au radara à 10 mètres sol, pour faire croire que... non en fait, j'appréhendais... mais chhhhut), je suis allé posé sur l'atterro officiel, 650 mètres plus bas.
Ca secouait un peu, au centre de la vallée, 500 mètres au dessus du vaste atterro (en contre pente par rapport à la brise de vallée). Surement des trucs à choper pour monter mais... j'étais crevé entre mes 1 heure 05 de vol et ce fichu genou qui me faisait mal.
Ca secoue ? Tu dois poser juste sous toi ?
Les oreilles ! Et hop là !
Bon ça bouge encore mais ça va.
Mon regard fixe cette fichue manche toute flasque par moment, toute tendue d'autres fois. Ca tourne dans tous les sens, en dessous. Et faut que je pose là, sur ce terrain que je ne connais que parce-que j'y suis passé il y'a 2 ans, un été, à pied. Et mon genou qui me....
Bref, après moultes 360°-pas-trop-serrés-aux-oreilles, j'entame une PTU, relache les oreilles lors de l'étape de base (avant le dernier virage qui annonce la finale, quoi).. car le champ est franchement en pente et la manche est franchement flasque à ce moment... ce qui ne rassure pas mon genou : doudiou je vais encore atterrir comme un fer à repasser !
Prise de vitesse (disons : Cage au neutre)... bon sang que ça défile...
Mon genou, mon genou...
Cabré total... vraiment, j'ai tout tiré.
Et poum ! pseudo-décrochage, posé dur mais quasi à l'arrêt.


Bref, j'ai visité tout le bocal, jusqu'à ces limites avant engagement trop important pour moi. Taquiner les falaises qui font perdre de vue le déco et toute référence visuelle connue, se retrouver seul quelques instants, cacher de tous... avant de revenir vite vers des zones aeriennes plus connues.

mercredi 10 août 2005

Tourne et vole

Ailes qui tournent, ailes qui volent, encore et encore...


...dans le ciel de la Côte des Deux Amants:

dimanche 17 juillet 2005

La Puncho de Millau

Par vent de sud sur la Puncho, l'assistance au décollage s'avère confortable...


... avant de soi-même s'élancer:


Monter localement, pour tenter l'évasion:

jeudi 30 juin 2005

Champs de blé

Belle étendue d'épis d'or,
Balayée par le vent et cette fine pluie de printemps:

samedi 18 juin 2005

Ombre de Sterne

Lors du salon du Bourget,
De par l'ombre projetée de ses ailes à l'envergure conséquente,
Le majestueux et sophistiqué motoplaneur abrite les hommes au repos:


Mais ne sent-on pas son âme trépigner,
De ne pas être plutôt à tourner dans les airs ?

samedi 28 mai 2005

A ne plus en descendre

La chaleur de la ville de Cluses remontait jusqu'à nous,
Au point de ne plus vouloir nous faire descendre.
Etrange sensation que de tenir ainsi en l'air sans effort et sans risque.
Nous volions ainsi comme des voliers vogueraient sur un lac balayé par une brise légère:


Il fallu pourtant bien lutter contre cette magie et se résigner à descendre.
Car en bas les ombres s'étiraient...

vendredi 27 mai 2005

Samoëns

L'aire d'envol au somptueux paysage:


Gravir l'air pour atteindre l'altitude des cimes.
Le plafond aérien n'est pas loin.
Le panorama paraitrait presque irréél.
Mieux vaut être couvert et faire abstraction de l'inhospitalité des lieux:



Heureux pilote en transition:


L'atterro tout en bas, baigné dans la chaleur d'un été qui débute:


dimanche 6 février 2005

Racée

Belle et racée comme au premier au jour,
Elle invite toujours à l'évasion,
En dépit des nombreux kilomètres déja parcourus:

samedi 5 février 2005

Point de vue de pilote

Sur le petit site de Beynes, vu "d'en haut":